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Tropical Conservation Science - Vol 7(1): 1-1700 Français



Review paper
    Répartition et l'état de conservation des espèces d'amphibiens et de reptiles dans la forêt Lacandona, Mexique : une mise à jour après 20 ans de recherche
    pp 1-25
    Omar Hernández-Ordóñez, Miguel Martínez-Ramos, Víctor Arroyo-Rodríguez, Adriana González-Hernández, Arturo González-Zamora, Diego A. Zárate, Víctor H. Reynoso.
    Cet article présente une liste à jour de la diversité des amphibiens et des reptiles de la région Lacandona, au Mexique, et de l'information actualisée sur leur répartition et leur état de conservation. Nous avons examiné les bases de données de collections scientifiques et les listes de herpétologique publiés, et ajouté de nouveaux records de notre 2007-2013 des enquêtes dans la forêt tropicale du sud Lacandona. Au total, nous avons trouvé 124 espèces (89 reptiles et 35 d'amphibiens ) dans la région. Neuf amphibiens ( 25,7 % ) et deux (2,2%) reptiles sont endémiques de la forêt maya. Quatre amphibiens et reptiles sont apparus trois à se limiter à la Réserve de biosphère de Montes Azules, ce qui suggère qu'ils sont particulièrement vulnérables à la perte et la dégradation des habitats. En moyenne, les actions de la région à moins de 60 % des espèces avec les forêts tropicales mexicaines voisins. Sept espèces sont dans une catégorie de risque au sein du gouvernement mexicain menacé liste des espèces. Nos résultats indiquent donc que Lacandona est d'une grande importance pour la conservation de l'herpétofaune méso-américain. Néanmoins, l'augmentation des niveaux de déforestation ajouter de nouvelles incertitudes pour le maintien des amphibiens et des reptiles de la région.


Conservation Letter
    Construire une stratégie de conservation de l'espèce pour le singe hurleur brun ( alouatta clamitans de guariba ) en Argentine
    pp 26-34
    Ilaria Agostini, Ingrid Holzmann, Mario S. Di Bitetti, Luciana I. Oklander, Martín M. Kowalewski, Pablo M. Beldomnico, Silvina Goenaga, Mariela Martínez, Eduardo S. Moreno, Eduardo Lestani, Arnaud L. J. Desbiez, Philip Miller.
    La province de Misiones, dans le nord- Argentine, accueille l'un des rares vestiges de la forêt atlantique d'Amérique du Sud continue. C'est la maison d'un hurleur brun très petit singe ( alouatta clamitans guariba ) population, dont la présence est limitée à une petite partie de cette forêt, et a été conduit à bord de l'extinction par les récentes flambées de fièvre jaune. Cette épidémie est causée par un virus transmis par les moustiques qui vivent habituellement dans la canopée de la forêt et qui sont responsables de la transmission du virus à l'homme et le singe. Les singes hurleurs sont extrêmement sensibles à la fièvre jaune, et une épidémie peut décimer toute une population dans un court laps de temps. En Misiones, deux foyers entre 2007 et 2009 ont tué plusieurs singes hurleurs, rendant la situation de la population déjà faible hurleur brun très critique. En Mars 2013, un groupe de scientifiques a organisé le premier atelier international concernant brun conservation de singe hurleur en Argentine, avec l'objectif de rassembler toutes les informations disponibles et de mieux comprendre la situation actuelle de cette population et les principales menaces qui pèsent sur sa persistance dans l'avenir. Après examen des données et mettre en évidence la fièvre jaune comme la principale menace, les scientifiques ont utilisé de nouveaux outils de modélisation ( Vortex et Outbreak logiciels par l'UICN / SSC NLDCB ) qui ont permis de faire la lumière sur la dynamique des véritables bourdes brun - Système de maladie. En simulant comment la variation de l'un ou de plusieurs facteurs influent sur la probabilité finale de survie de l'espèce, il était possible d'avoir un aperçu sur l'importance de chaque facteur (par exemple, quelle est la fréquence des épidémies de fièvre jaune consécutifs, quelle partie de la population disparaissent après chaque foyer, etc. ). Cela a permis aux scientifiques d'identifier les sujets qui méritent encore plus la recherche et quelles sont les mesures les plus urgentes pour faire face à ces besoins en matière de recherche et de conservation, dans la perspective de la construction de toute une stratégie pour la conservation des espèces menacées d'extinction hurleurs bruns en Argentine.


Short communication
    Propagation d'une espèce invasive Piper aduncum par les routes d'exploitations forestières à Bornéo
    pp 35-44
    Michael Padmanaba and Douglas Sheil
    Les espèces invasives exogènes (e.g. non-indigène ou exotique) sont des organismes qui sont extérieurs au milieu naturel et qui persistent et envahissent leur nouvel environnement. Certaines d’entre elles sont de réelles menaces pour les espèces endémiques et les écosystèmes. Le poivre épineux ou spiked pepper (Piper aduncum) est un arbre originaire des régions tropicales des Amériques, est un exemple de plante invasive qui c’est largement établi dans les écosystèmes perturbés des tropiques. La région de l’Est de Kalimantan, sur l’île indonésienne de Bornéo, où persistent de larges aires de forêt tropicale riches en biodiversité est encore faiblement impactée. Mais cela risques d’augmenter avec les impacts de l’agriculture, la sylviculture et autres activités humaines. P. aduncum est trouvé dans la partie sud de l’Est de Kalimantan, mais n’a pas encore atteint les forêts du nord. Concerné par le fait que les routes d’extraction des exploitations forestières pourraient faciliter la propagation de cette espèce, on évalue l’avancé de P. aduncum au sein d’une concession forestière à l’Est de Kalimantan où l’histoire du développement des routes a été bien documenté. Nous trouvons que tandis que P. aduncum était déjà établi sur la partie sud des anciennes routes, elle demeure absente des nouvelles routes au nord. En comparant l’âge des routes avec la propagation de P. aduncum et en assumant que ces routes soient les principaux moyens d’invasion, cela signifie un minimum de propagation de 5 à 7km par an. Des mesures et des stratégies de coordination à grandes échelles sont urgentes pour une meilleure gestion et contrôle de la propagation d’espèce exogène tel que P. aduncum, et afin de prévenir de l’invasion des aires encore intactes.


Research Articles
    En utilisant des modèles de distribution potentiels pour les modèles de la richesse en espèces, de l'endémisme, et phytogéographie des espèces de palmiers en Bolivie
    pp 45-60
    Mónica Moraes, Boris Ríos-Uzeda, Luis René Moreno, Gladis Huanca-Huarachi, and Daniel Larrea-Alcázar
    Palmiers symbolisent l'un des groupes les plus célèbres et les plus fascinants de plantes tropicales dans le monde. L'importance économique et la valeur ornementale de certaines espèces sont indéniables. À ce jour, 2 450 espèces dans le monde ont été décrits, dont 87 sont originaires de Bolivie, où beaucoup de palmiers néotropicaux trouvé sa distribution sud et l'ouest dans les Amériques. Basé sur les connaissances actuelles des collections scientifiques, publications paumes originaire de Bolivie et d'outils à l'aide de SIG, dans cette étude, nous modélisons la distribution géographique de chaque espèce afin d'identifier les zones à forte richesse et ceux qui ont la plus forte concentration d'espèces endémiques, c'est à dire avec des espèces très restreint répartition géographique. Nous avons détecté que la plus forte concentration d'espèces de palmiers produit en Amazonie et dans les Andes humides de la Bolivie, qui coïncide avec les modèles continentaux qui caractérisent ce groupe de plantes. La concentration d'espèces endémiques serait associée à la région andine est du pays. Les résultats seront essentiels pour orienter les stratégies futures de conservation et les lignes du groupe de recherche, par exemple, la promotion de la conservation des espèces de palmiers à l'intérieur et à l'extérieur des aires protégées et l'analyse de leur vulnérabilité sous une approche du paysage.

    Est le système de réseau actuel d'aires protégées dans la forêt atlantique efficace dans la conservation des espèces clés de bryophytes
    pp 61-74
    Mércia P.P. Silva, Luciana H.Y. Kamino and Kátia C. Pôrto
    Bryophytes sont les plantes les plus simples de la terre, manquant système vasculaire et la cuticule, et donc sans aucun contrôle sur la perte d'eau à l'environnement extérieur. Par conséquent, ils sont des bioindicateurs efficaces, disparaissant ou étant remplacées par des espèces plus tolérantes en cas de perte de l'habitat. La forêt atlantique qui était autrefois continu et exubérante a actuellement une couverture en dessous de 7 % de sa superficie initiale et ses restes sont de petite taille ( < 100 ha ), isolé, quelques fragments protégés placés dans des paysages cultivés, industrielles et urbaines. À son tour, cet écosystème est un important centre de la diversité des bryophytes, la dispersion et l'endémisme, abritant 94 % des espèces menacées au Brésil. Ainsi, notre objectif était de vérifier si le réseau actuel de la forêt atlantique des unités de conservation est vraiment efficace dans la conservation des bryophytes endémiques et / ou bioindicateurs (espèces clés). Pour ce faire, les cartes ont été faites en utilisant des modèles mathématiques d'espèces distribution potentielle des dix principales espèces pour déterminer l'emplacement de la forêt atlantique avec une probabilité élevée d'espèces. Par la suite, ces cartes ont été superposées à la carte du réseau des unités de conservation, qui a mis en évidence des lacunes importantes dans la connaissance des bryophytes, étant donné que plus de 70% de la zone à forte présence potentielle à l'abri endémique et / ou des indicateurs de qualité de l'environnement bryophytes espèces sont sans protection juridique. La partie centrale de la forêt atlantique est la région avec le plus grand potentiel de survenue de bryophytes, mais avec quelques zones protégées, et est donc une priorité pour la réalisation d'inventaires et de création de réserves.

    Mouvement et l'activité motif d'une tigresse col dans un paysage dominé par l'homme dans le centre de l'Inde
    pp 75-86
    Vidya Athreya, R. Navya, Girish A. Punjabi, John D. C. Linnell, Morten Odden, S. Khetarpal and K. Ullas Karanth
    Un chat sort du sac : suivi une tigresse dans un paysage de l'activité humaine dans l'Inde centrale. L'Inde est la maison à 50 % de la population des mondes de tigre en dépit d'être le foyer de la population humaine au deuxième rang dans le monde. Une grande partie des tigres et leur gestion sont limités à des aires protégées en Inde, mais parce qu'ils vont sur de grandes distances, ils se produisent même dans des paysages de l'activité humaine. Très peu est connu sur l'écologie de tigre ou de leur interaction avec les humains en dehors des zones protégées en Inde. Cet article traite d'un GPS col tigresse en Inde qui vivait à l'extérieur d'une zone protégée, dans une utilisation des terres mosaïque de forêt - agriculture pendant toute la période de suivi de 4 mois. Les données de suivi GPS trouve qu'elle propose une distance minimale de 450 km en quatre mois et utilisé une superficie d'environ 400 kilomètres carrés dans un usage humain paysage. Elle était principalement nocturne et reposait dans la végétation dense des parcelles de forêt dans la journée et dans les domaines de nuit franchi, les lignes de chemin de fer et des routes. Même si les humains étaient actifs autour de ses sites de repos diurnes, qu'elle n'était pas impliquée dans le conflit. Une partie intégrante de la biologie carnivore est leur dispersion et afin de faire en Inde ,

    Combler une lacune de connaissances sur la biodiversité des rhodolithes - Associated échinodermes du nord est du Brésil
    pp 87-99
    Rhodoliths nodules individuels des algues calcaires qui peuvent facilement être confondus avec des petits cailloux. Ils peuvent former des agglomérats de grande taille sur le fond de la mer, étant alors dénommé rhodolithes lits. Leur exploration pour l'extraction de carbonate de calcium a soulevé une grande préoccupation pour la conservation de cet écosystème. La forme tridimensionnelle de rhodoliths permet une grande variété d'organismes ou de vivre associé à leurs surfaces, reentrances, et même en leur sein (par exemple, les mollusques, polychètes, des éponges, des tuniciers et échinodermes ). Connaissance de la biodiversité qui utilise rhodolithes lits est encore insuffisante dans le monde entier, en particulier au Brésil. Lits approfondies ont été cartographiées dans notre pays, mais on ne sait pas au sujet de leur faune associée. Dans cette étude, nous enregistrons la faune d'échinodermes ( étoiles de mer, oursins, holothuries et ophiures ) qui habitent rhodolithes lits à différentes profondeurs ( 10 à 20 m ) le long de la côte de l'État de Paraíba, situé dans le nord du Brésil. Ont été trouvés Trente-deux espèces d'échinodermes, certains étant très abondante. Les espèces rares et étoiles de mer filetées d'extinction utilisent les rhodoliths étudiés. Deux espèces ophiures représentent de nouveaux records pour l'État de Paraíba. Cette étude a également indiqué que la profondeur peut influer sur la faune associée, qui est plus riche et plus abondante dans les eaux peu profondes ( 10 m ). Lits rhodolithes ont été présentés pour représenter un habitat important pour les échinodermes et les autres organismes associés. Ces écosystèmes exigent priorité dans les initiatives de conservation. Leur présence dans les eaux peu profondes qui les expose à une série de menaces. Ces habitats et leur faune associées doivent devenir de toute urgence l'objet de recherches et de protection.

    Densité, l'abondance et l'activité motifs des bairdii menacées Tapirus dans un de ses derniers bastions dans le sud du Mexique
    pp 100-114
    Authors: Juan Paulo Carbajal-Borges, Oscar Godínez-Gómez and Eduardo Mendoza
    Perte anthropique des habitats naturels et la surexploitation ont en voie de disparition près d'un quart des espèces de mammifères dans le monde entier. Extinction de toutes les espèces sauvages, comme une conséquence des activités humaines, est un événement regrettable, mais il ya certains cas qui ont un impact profond sur la biodiversité que d'autres. Récemment, des experts de la Société zoologique de Londres classés espèces de mammifères en fonction de son niveau de menace et de la spécificité de l'évolution. En 34e position, parmi plus de 4000 espèces évaluées, était le tapir de Baird ( Tapirus bairdii ). Les tapirs sont le seul représentant sauvage de l'Ordre Perissodactyla dans les Amériques et l'un des rares lignées évolutives des grandes valides mammifères qui ont survécu à la vague d'extinctions eu lieu sur le continent au cours de la fin du Pléistocène. Basé sur l'utilisation de pièges photographiques, nous avons généré des données très détaillées sur les tendances de l'activité spatiale et temporelle dans l'une des quelques populations restantes des espèces vivant dans la réserve de biosphère d'El Triunfo ( ETBR ), Chiapas, au sud du Mexique tapir de Baird. En outre, nous avons exploré l'applicabilité d'une méthode récemment développée (modèle de rencontre aléatoire) pour estimer la densité de tapir basée sur des données caméra piège mais sans la nécessité de l'identification individuelle. Augmentation de la disponibilité des données, générées par des méthodes standardisées est la clé pour permettre des comparaisons significatives dans le temps et localités, et à définir une base de référence pour évaluer les tendances de la population de cette espèce en voie de disparition grandement. Le besoin urgent d'une plus grande attention la recherche et de conservation sur tapirs est soulignée par la récente découverte d'une nouvelle espèce en Amérique du Sud.

    Singes dans un marché de viande de brousse africaine Ouest : implications pour la conservation cercopithecid dans l'est du Libéria
    pp 115-125
    Ryan Covey and W. Scott McGraw
    La chasse illégale de primates sauvages a conduit à un déclin dramatique de la population dans de nombreuses espèces de primates dans le monde entier, en particulier en Afrique de l'Ouest. Le but de cette étude était d'examiner un marché de la viande de brousse dans le pays ouest-africain de Côte-d'Ivoire afin de déterminer combien de viande de brousse, ou de la viande d'animaux sauvages, a été chassé dans les forêts du Libéria. Un marché en Côte-d'Ivoire, le long de la rivière Cavally, est livré tous les jours avec la viande de brousse illégale qui vient des forêts de Konobo District du Libéria. Viande achetée est redistribué à d'autres marchés et restaurants pour consommation personnelle locales. Nous avons visité le marché huit fois sur une de ses journées les plus chargées de la semaine en 2009 et 2010, en observant plus de 723 animaux à vendre, y compris 264 primates. Une foule d' animaux ont été observés à la vente sur ce marché, y compris de nombreuses espèces de céphalophes dont le céphalophe danger de zèbre, chimpanzés, huit espèces de singes, des porcs-épics, des civettes, des serpents, et des crocodiles. Nos résultats prédisent qu'environ 9464 primates sont vendus à ce marché chaque année. Ce total représente une partie importante de la population primate qui fait face à de nombreuses autres menaces en plus à la chasse telles que l'exploitation forestière illégale, la conversion des forêts en plantations de palmiers à huile, et l'expansion agricole. Sans une protection immédiate, les primates et d'autres animaux sauvages du Libéria de l'Est sont à risque d'extinction dans cette zone de l'Afrique de l'Ouest.

    Changements dans la composition floristique, la structure des communautés et la diversité des espèces dans une forêt tropicale écotone de conifères - feuillus
    pp 126-144
    Zhang Junyan, Cheng Kewu, Zang Runguo and Ding Yi
    Dans les écosystèmes naturels, un écotone est une zone de transition entre les deux communautés végétales distinctes. Grâce à sa raccordé deux types de communautés différentes ( comme la forêt de conifères et forêt de feuillus ), les espèces se sont produites dans les écotones peuvent provenir de deux communautés et peut créer un écosystème diversifié par la suite. Par rapport aux deux autres zones de transition, l'écotone représente le système naturel plus dynamique. Il peut être étroite ou large, et il peut être local ( la zone entre un champ agricole et forestière ) ou régionale ( la transition entre la forêt et les écosystèmes des prairies ). Ecotones sont particulièrement importants pour les animaux mobiles, car ils peuvent exploiter plus d'un ensemble de milieux à l'intérieur sur une courte distance. Dans la région de la forêt tropicale de basse altitude du sud de la Chine, écotones existent entre les forêts de conifères et la forêt tropicale de feuillus tropicaux. Dans cette étude, nous avons l'intention de découvrir les différents personnages de écotones ainsi que les deux différents types de forêts. Les résultats de notre observation sur le terrain ont révélé caractéristique distincte entre trois zones ( forêt de conifères, écotone, et la forêt boardleaved ) du nombre d'espèces, la densité des tiges, la structure des communautés, les espèces dominent, et la taille des arbres sur une courte distance (environ 30 à 90 m ). En général, les écotones étaient plus proches de la forêt boardleaved, ce qui indique l'espèce dans la forêt boardleaved ont plus de chances de se développer dans les écotones, qui ont augmenté l'aire de répartition de la forêt boardleaved avec le temps dans notre région d'étude.

    Chasse et utilisation des animaux sauvages dans un vestige de la forêt atlantique du nord-est du Brésil
    pp 145-160
    J. Barcellos de Souza and Rômulo Romeu Nóbrega Alves
    La forêt atlantique brésilienne est l'une des forêts tropicales les plus importantes du monde. Cette région héberge différentes espèces de vertébrés, dont beaucoup sont vulnérables ou menacées à cause des activités humaines, y compris la chasse et l'utilisation de la faune. Cette situation evidenciates que les études ethnozoologiques sont essentiels à l'élaboration de plans de gestion et des propositions pour la réglementation de la chasse. Dans cette étude, nous avons analysé la chasse des animaux sauvages dans un vestige de la forêt atlantique du nord-est du Brésil. Nous avons interrogé les chasseurs locaux qui ont cité un total de 68 espèces d'animaux sauvages, qui sont perçues ou chassaient pour se nourrir (principalement ), animaux de compagnie et la médecine traditionnelle. En outre, certaines espèces sont chassés et tués en raison de relations conflictuelles avec les gens. Les principales raisons pour les conflits comprennent des attaques sur le bétail et les dégâts aux cultures. Parmi les espèces de gibier cités par les chasseurs, certains sont dans les listes d'espèces menacées, le renforcement de la nécessité de mesures plus efficaces et des politiques publiques qui répondent à la gestion de la faune de la région.

    Variations spatiales et temporelles de la densité de la population d'un oiseau endémique et en danger, le Cauca Guan ( Penelope perspicax )
    pp 161-170
    Gustavo H. Kattan, Néstor Roncancio, Yurany Banguera, Margarita Kessler-Rios, Gustavo A. Londoño, Oscar Humberto Marín and Marcia C. Muñoz.



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Volume 7: Issue 1
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